Éclipse totale de Lune photographiée avec un appareil photo reflex au foyer d’une lunette achromatique de 70 mm sur monture équatoriale motorisée, superposition de deux expositions d’une et de dix secondes. Photo Nicolas Dupont-Bloch.
Lumière cendrée à l’approche du premier quartier, prise au reflex au foyer d’une lunette achromatique de 150 mm. Cette image est une superposition de deux poses, l’une de 1/40 s, l’autre d’une seconde. Les basses lumières sont augmentées. Le côté nocturne est assez sombre et bruité, mais certaines formations sont identifiables : les principales mers, Grimaldi au fond très sombre à l’ouest, les systèmes de rayons de Copernicus et Kepler, des cratères clairs comme Aristarchus, Timocharis, Manilius et Menelaus. Photo Nicolas Dupont-Bloch.
Eclipse de Lune. Exposition de 10 secondes à l’approche de la totalité (la Lune n’était pas exactement au centre du cône d’ombre de la Terre). La monture motorisée compense le mouvement diurne : ni la Lune ni les étoiles ne souffrent du flou de bougé. Image prise avec un reflex au foyer d’un télescope de 1 250 mm de focale avec une occultation manuelle. Photo Nicolas Dupont-Bloch.
Région de Clavius. La résolution de cette image de 6 mégapixels prise avec un télescope de 254 mm est de 600 m sur la Lune (séparation des collines au fond de Tycho à 11,3°O, 43,7°S), ce qui correspond à la résolution visuelle d’un télescope de 400 mm, ou à une impression offset en 25×17 cm à 300 DPI, ou à une affiche au format A1. Nord en haut (11°O, 50°S). Photo Nicolas Dupont-Bloch.
Dans cette région où l’albédo du sol continental est homogène, le traitement est simple : ajustement de la courbe de luminosité et ondelettes. L’assemblage de deux images compense la petite taille du capteur (18°E, 17°S). Photo Nicolas Dupont-Bloch.
Image prise au foyer d’un Newton à F/D 4,7 avec une caméra couleur ASI071MC-c au format APS-C. Le bas de cette image à grand champ est déformé en raison de l’absence de correcteur de coma. L’empilement de 300 images a dépassé trois heures mais le résultat est bien meilleur qu’avec une simple photographie au reflex. Le contraste et la saturation des couleurs sont augmentés et le gradient est corrigé. Photo : Rabah Bouzidi et Nicolas Dupont-Bloch.
Une photographie en LRVB appliquée sur un modèle numérique de terrain issu de LRO (NASA/LOLA Science Team/Goddard Space Flight Center) ; la projection 3D est réalisée avec le logiciel Blender (7°O, 14°N). Image Nicolas Dupont-Bloch.
Réion de Copernic. Image quadrichromique à cinq couches : luminance traitée parallèlement en contraste à moyenne échelle par tone mapping (rayons) et en netteté à petite échelle par ondelettes (cratères secondaires) ; les couches sont ensuite multipliées puis le gradient est compensé. Les trois couches de couleur sont ensuite alignées puis saturées. Nord à gauche (20°O, 11°N). Photo Nicolas Dupont-Bloch.
L’inversion de l’image met en valeur les système de rayons et les différences de couleur et d’albédo, car notre œil distingue mieux des détails ténus sombres sur un fond clair. L’inversion d’une image couleur dont la saturation est amplifiée révèle les différences d’âge et de composition du sol. Photo Nicolas Dupont-Bloch.
Région de Platon (10°O, 48°N). Photo Nicolas Dupont-Bloch.
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